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quête de sens

PenserPositiver

2020 : sens et résilience pour « Vivre » dans un monde imprévisible

by Gaëlle B 11 novembre 2020

« Vivre ! »

Dans un monde imprévisibleVivre dans un monde imprevisible de Frederic LEnoir

De Frederic Lenoir.

Cet ouvrage a vu le jour en 2020 en pleine crise sanitaire. Effectivement nous sommes dans un monde imprévisible ! plus que jamais.

Qui aurait cru il y a un an que nous vivrions ainsi aujourd’hui ?

La fameuse résilience

Frederic Lenoir nous encourage à  la résilience,  qui aide à vivre dans des temps difficiles. Il trouve les mots justes pour ouvrir notre champ de vision et nos possibilités. Ne restons pas passifs et spectateurs de ce qui se joue.

L’important est de développer la joie, malgré l’adversité.

Pourquoi ne pas faire de cette crise une opportunité pour changer de regard et mieux nous relier aux autres ?

J’aime beaucoup la phrase de Carl Gustav Jung:

« Les crises, les bouleversements, la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. »

Trois étapes surgissent après un traumatisme :

  1. La résistance,
  2. L’adaptation
  3. La croissance.

Elles sont naturelles, inévitables. Nous devons veiller simplement à ne pas stagner mais suivre cette progression vers le mieux-être.

En effet, pour avancer, il est nécessaire de regarder la réalité en face. Si l’on n’accepte pas ce qui est, la souffrance s’installe. C’est ce que développe avec beaucoup d’humanité Sarah Serievic dans son livre à travers les récits d’accompagnements par le Théâtre authentique.

La capacité de résilience est liée aux schémas d’attachements enregistrés depuis notre tendre enfance. Avoir été aimé, enfant, ne serait-ce que par une personne, nous dote de cette capacité.

 

Donner du sens à notre vie

Hâte-toi de bien vivre et songe que  chaque jour est à  lui seul une vie. Sénèque

Pour Frederic Lenoir, il vaut mieux « donner du sens à notre vie », plutôt que « chercher le sens de la vie ». C’est à dire trouver maintenant des raisons de vivre, même s’il s’agit de répondre temporairement à « Pourquoi ai-je envie de me lever le matin ».

Celui qui a un « Pourquoi » (sens de la vie) peut vivre avec n’importe quel « Comment ».

 

La pandémie actuelle a érigé comme valeur suprême la santé. André Comte-Sponville parle de « Pan-médicalisme ». Or, n’oublions pas que la vie vaut parce qu’elle à une certaine durée. Notre finitude nous invite à vivre pleinement chaque instant.

Et si cette proximité avec la mort nous incitait à vivre plutôt qu’à focaliser sur la peur de mourir ?

Frederic Lenoir conclut sur des paroles aussi simples qu’éclairantes d’Epictète.

« Ce  qui tourmente les Hommes,  ce n’est pas la réalité,  mais les jugements qu’ils portent sur elle ».

 

11 novembre 2020 0 Commentaire
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envie de reconversion professionnelle?
bien-être au travail

Envie de reconversion professionnelle après la crise COVID ? 3 expertes partagent leur avis

by Gaëlle B 20 mai 2020

Les semaines de confinement ont fortement chamboulé la vision du travail  et le rythme du quotidien.

Nouvel équilibre vie privée/vie pro, disparition des contraintes de circulation, la plupart d’entre nous ont pu expérimenter une autre vie.

Certains métiers ont pris une aura différente comme les métiers de la santé, alors que d’autres se sont révélés, au travers du confinement, moins porteurs de sens et d’utilité publique.

Avec le déconfinement, nombreux sont ceux qui ont repris le travail avec des envies d’ailleurs. Pour d’autres, c’est la perte d’emploi qui oblige à chercher, s’adapter, se former, se questionner.

Entre quête de sens et nécessité liées au bouleversement économique, va-t-on assister à un boom des reconversions en 2020 ?

3 expertes partagent leur réponse  :

Garance Yverneau

Coach professionnelle

Fondatrice de 5A Conseil, booster de carrières au féminin

Un boom des reconversions professionnelles est en cours depuis le début de la crise sanitaire, 5A Conseil a connu par exemple une hausse de plus de 50 % de demandes pour des bilans de compétences au féminin. Cette crise a globalement mis à mal tous nos repères et bouleversé nos priorités.

Les femmes confinées ont subi beaucoup de pressions dans la mesure où le confinement n’a fait qu’accentuer un déséquilibre déjà existant dans les couples.

Avec la fermeture de nombreux services d’aide à la personne des établissements scolaires, comment déléguer une partie des tâches parentales et domestiques ? Or, ce surcroît de travail est assumé encore et toujours par les femmes dans la grande majorité des cas, ce qui renforce leur sentiment d’épuisement.

Par ailleurs, l’expérience du télétravail a également mis en évidence la porosité entre vie personnelle et vie professionnelle engendré par le télétravail : la présence de la famille, notamment de jeunes enfants, du conjoint, interfère avec le travail et entraîne des chevauchements des différentes sphères les unes sur les autres.

En plus des interrogations sur l’équilibre entre aspirations professionnelles et vie de famille, la quête de sens est plus que jamais au coeur des préoccupations des femmes.

Le travail, qui occupe une place centrale dans notre quotidien, est brutalement transformé : entre chômage partiel et télétravail, le confinement nous a invité à nous questionner sur notre métier et plus généralement, sur notre vie.

Les femmes ressentent plus que jamais le besoin d’être aidées et accompagnées pour y voir plus clair et envisager une reconversion ou un changement de vie professionnelle de manière sereine dans un contexte mouvant et incertain.

Cette crise a renforcé l’envie pressante de sortir d’un sentiment d’épuisement, d’ennui, de non-sens, de pression ou déséquilibre de vie

L’année 2020 sera donc pour beaucoup d’entre nous, l’année des reconversions.

 

Marion Hazera

Psychologue du travail et des organisations

 

Soulignons-le, cette crise fait apparaître des injonctions paradoxales.

Elle fait surgir pour certains des craintes quant à l’avenir professionnel dans un marché du travail qui risque de se tendre, mais aussi l’envie d’aller voir ailleurs… Ces 2 mois ont pu être pour certains vécu comme un véritable chamboulement émotionnel et psychologique. Les raisons d’une envie, d’un besoin de reconversion sont multiples et variées, mais le haut du podium reste celui du « sens ». 

Alors LA question ne serait-elle pas plutôt comment les organisations dans cette période de crise vont-elles retenir ces salariés qui auraient cette envie d’ailleurs ?  

La reconversion, est-elle la seule issue à envisager pour retrouver du sens ? 

Cette crise, n’est-elle pas le moment pour les organisations de s’emparer de cette question du sens ? Comment ?

Certainement en permettant d’abord au collectif de travail de (re)discuter du travail réel et vécu, de ses singularités et surtout de ses évolutions qui seront certainement encore pour quelques mois contraintes et dictées par cette crise et son évolution.

La première valeur du « sens » passera certainement par-là et cela contribuera en même temps à nourrir le sentiment de reconnaissance, essentiel à l’engagement des salariés. 

Le confinement ne sera pas forcement signe pour moi d’un « boom des reconversions » mais doit plutôt permettre aux salariés de se repositionner dans l’entreprise sur des sujets plus stratégiques et les organisations auront tout intérêt à leur laisser voix au chapitre pour (re)trouver le meilleur équilibre entre performance économique et performance sociale. 

Chacun va apprendre de cette crise et il me semble prématuré de tirer les premières conclusions, mais plutôt penser les ouvertures. Les organisations tout comme les salariés sont encore dans le feu de l’action et avancent à tâtons… Entre reprise partielle, empêchées, maintien du télétravail… 

En tant que psychologue du travail, une phase de mise en mots des maux ressentis par les salariés me semble essentielle et nécessaire. 

En ouverture pour ma part en tant que psychologue du travail, la mise en mots des maux ressentis par les salariés va être essentielle et nécessaire. 

Valoriser le capital humain, reconnaître et identifier les contraintes, maintenir et développer les ressources dont celles du collectif de travail sera l’enjeu majeur des organisations.

Le salarié n’est donc pas seul face à cette question de reconversion. L’organisation aura toute sa place à prendre pour rebattre ensemble les cartes d’une organisation que l’on ne peut, à ce jour, pas encore repenser.

Edtih Lafargue Vision coaching

Edit Lafargue

Coach professionnel

Valeurs Ajoutées Coaching

Je dirais oui et non, car il n’y a que le changement qui ne change pas!

Certains vivent le changement comme une menace et ont tendance à se replier, en se disant que la situation économique post-corona n’est pas propice à la remise en question.  D’autres le vivront comme une opportunité de se réinventer pour « s’indépendantiser » d’un système à bout de souffle, dans lequel ils ne se reconnaissaient plus.

Les personnes que j’accompagne sont dans la deuxième catégorie. Elles cherchent un job au plus près de ce qu’elles sont, et à l’exercer dans un contexte de flexibilité, d’autonomie, d’impact et de responsabilisation. Elles cherchent à dépasser leurs peurs pour se réaliser dans une activité qui leur ressemble et qui intègre nos nouveaux modes de vie.

Par exemple :  

  • De nouvelles formes de travail (co-working, job collaboratif, l’intelligence collective, travail à distance, Slasheurs etc.),
  • Des produits ou services qui n’existent pas au travers du digital ou d’anciens métiers, revisités et exercés différemment (agriculture, commerçant, artisans etc.) ,
  • De nouvelles formes d’activités, où vie et travail s’entremêlent sans réelle frontière, car le ce que nous faisons au travail c’est notre passion.

Le confinement lié au Codiv-19, nous a placé dans une introspection forcée.

Tout cela peut réveiller des questions dites existentielles :

Et moi dans tout cela ? Qui suis-je vraiment sans l’agitation de ma vie habituelle ? Mon métier est-il un job utile ou un job Bullshit ? Mon projet de carrière, est-il toujours viable pour l’avenir ? Que va t’il se passer si l’économie s’écroule ? La rentabilité à tout prix pour quoi faire ? Quel est le sens de ma vie ?

Ces questions seront peut-être balayées par une crise économique qui va nous obliger à vivre en mode « survie » ou, au contraire, raviver l’envie de se reconvertir dans quelque chose qui a du sens, en se disant:

« puisqu’il n’y a plus rien de certain, autant prendre le risque de faire quelque chose en lien avec qui je suis vraiment et mes convictions ».   

Alors la vraie question qui apparaît est « qui suis-je vraiment et dans quoi ai-je envie de m’engager » ? Pour beaucoup d’entre nous, il est très difficile de répondre à ces questions, je le constate chaque jour dans mes accompagnements.

Cela s’apprend, c’est un tournant, une autre façon de penser sa vie et son travail, qui amènera peut-être un boom de la quête de reconversion. Chacun peut se prendre en main, se reconnecter à qui il est vraiment et le sens qu’il veut donner à sa vie, en apportant aux autres sa valeur ajoutée unique au sein d’un environnement plus participatif, collaboratif, et plus humain.

Ce sont de belles pistes pour demain.   

Pour conclure...

La période Covid-19 est, comme toutes les crises, une étape dans un processus de changement profond qui s’opère. Elle agit comme un révélateur et met en lumière tant les dysfonctionnements que les aspirations.

Les rêves de reconversion et d’une autre vie possible germent plus que jamais dans les esprits. C’est une aspiration à davantage de sens, d’équilibre et d’épanouissement, dans le quotidien de chacun, mais aussi dans la société.

La reconversion est une manière courageuse de tenter de la concrétiser.

Que la reconversion se fasse ou non, gardons en tête nos aspirations positives. Ce sont des moteurs d’action et de précieux atouts  pour amorcer les phases suivantes de ce processus de changement.

 

Gaëlle Barthélemy

20 mai 2020 2 Commentaires
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teletravail
bien-être au travail

Vision du travail après le confinement, un boom des reconversions professionnelles?

by Gaëlle B 5 mai 2020

Les semaines de confinement ont fortement chamboulé la vision du travail  et le rythme du quotidien.

Nouvel équilibre vie privée/vie pro, disparition des contraintes de circulation (temps de trajet, bouchons, plus de transport en commun). La plupart d’entre nous ont pu expérimenter une autre vie.

Le retour au travail, la gestion maladroite de la crise par certaines entreprises, l’évolution de la notion d’utilité du travail vont-il générer des frustrations et déclencher des envies de reconversions professionnelles?

 

Nous avons gouté à un autre rythme, une autre manière de communiquer et de travailler.

Fini le métro-boulot-dodo,  la tête dans le guidon.

Que l’on soit en chômage partiel ou en télétravail, quelle que soit la charge d’activité, notre rythme est diffèrent.

Pour beaucoup d’entre nous, c’est un retour vers un certain équilibre de temps et d’attention  entre notre sphère privée et notre monde professionnel. Pour certains c’est un moment de confinement au vert, comme le montre les réunions en visioconférence faites dans le jardin.

Fini les contraintes de transport!

 

Le temps  s’est dilaté nous permettant de prendre du recul et d’avoir une vision plus objective de  notre quotidien.

Les temps de pause et de changement (maladie longue, congé maternité, le confinement) sont  propices aux envie de reconversions.

Les recherches  Google  sur les mots-clés « reconversion professionnelle  » font un bon de 30% à la fin des vacances d’été et de plus  de 42 %  début janvier à  la sortie des fêtes.

 

La peur  (de la maladie et de la mort) qui s’est largement répandue nous recentre sur ce qui compte pour nous, amène à repenser nos priorités et notre équilibre.

Selon une étude menée par l’équipe de www.nouvelleviepro.fr sur 2083 actifs français, 22% des sondés songeaient à la reconversion professionnelle suite à des problèmes de santé (burn-out, maladie…) en 2019.

 

La vision de la valeur du travail a changé  et la notion d’utilité  a pris une place importante.

Des fonctions trop peu valorisées jusqu’à présent sont devenues des métiers héros : infirmière, caissier, agriculteur, éboueurs, pharmaciens, auxiliaires de vie, etc.

Le Covid-19 a rebeloté les cartes, en ce qui concerne la fierté et le sentiment d’utilité au travail.

D’autres ont pris conscience que si leur travail n’était pas fait, l’activité de leur entreprise avançait tant bien que mal.

La quête de sens était déjà un argument en croissance dans le souhait des reconversions professionnelles.

En 2019 déjà  64% de ceux qui se lançaient dans un projet de reconversion, le faisaient d’abord pour se sentir plus utile et de redonner du sens à leurs actions.

Qu’en sera-t-il après l’épisode COVID-19 ?

Crise sanitaire, crise écologique, crise sociale, crise agricole, comment se sentir utile vis-à-vis des défis actuels?

Quels jobs permettent de s’engager pour les causes qui nous tiennent à  cœur et  de prendre sa place à petite ou grande échelle dans ce monde ?

 

La reprise de l’activité sera t’elle un déclic vers la reconversion pour ceux qui l’envisagent ?

Le retour au travail peut exacerber cette impression de décalage avec un monde de fonctionnement qui n’a pas changé: hypocrisie, lutte de pouvoir, incohérences, processus lourds, inefficacité globale, performance au détriment de l’humain ou de la qualité, manque de sens, missions insignifiantes. Le retour en open-space sera-t-il bien vécu par tout le monde ?

La gestion de la reprise sera cruciale dans le lien qui unit le salarié à  son entreprise. Une “vision négative” de la gestion du confinement par leur entreprise était évoquée parmi les motivations au départ, selon une étude Hellowork menée début avril 2020  auprès de 1015 utilisateurs des sites (RégionJob, Cadreo, Jobijoba), salariés en poste à  la recherche d’un emploi.

 

Vers d’autres aspirations :

Dans la même mouvance de quête de sens, certains recherchent  un travail en lien direct avec leurs valeurs. C’est ce que propose le site www.fuyonsladefense.com , des offres de poste,  des témoignages de reconversions professionnelles, des conseils pour trouver un travail qui a du sens.

 

Un cran plus loin, la démarche de l’Ikigai permet à chacun de trouver la  conjonction entre ses passions, ses talents et les besoins perçus autour de soi. Là  se trouve l’activité qui offrira ce sentiment d’accomplissement et de lien au monde.

 

Choisissez un travail qui vous passionne et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie.

Confucius

Vivre et travailler dans un cadre agréable est un des motifs de reconversiontravailleur nomade reconversion professionnelle.

Les travailleurs nomades choisissent de travailler ou bon leur semble dans le monde et leurs photos nous font rêver: lecture des mails sur leur smartphone sur une plage de Thaïlande, avec leur PC dans un café  branché d’Ubud, ville effervescente  de Bali, toujours avec leur PC dans un espace de co-working de San Francisco puis de Barcelone.

 

Etre son propre patron, devenir « libre » en travaillant en  freelance, apprendre  et  se challenger, ou évoluer, autant d’argument qui motivait déjà les reconversions professionnelles.

 

Ou bien choisir d’être un « slasher » qui cumule différentes  activités, pour exprimer ses multiples talents, ses envies  d’entreprendre, de créer de ne pas s’enfermer dans un seul rôle, un seul monde.

Exemple : Anaïs  professeur d’université/facilitatrice graphique/créatrice de bijoux.

 

50 % des métiers que nous connaissions pourraient avoir disparu dans les prochaines années.

De nouveaux défis arrivent avec l’intelligence artificielle, les Millenials.

 

Alors à nous de réinventer le travail, la place et le sens que nous souhaitons qu’il prenne dans notre vie.

5 mai 2020 0 Commentaire
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