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juillet 2020

Kintsugi livre sur l'art de la résilience Celine Santini
bien-être au travailPositiver

« Kintsugi, l’art de la résilience » de Céline Santini

by Gaëlle B 29 juillet 2020

[Mon book challenge] de l’été:

Livre de Celine Santini "Kintsugi, lart de la résilience"

Lire 10 livres de développement  personnel et partager ma vision de ce qu’ils peuvent nous apporter dans le cadre du travail.

Aujourd’hui:

 

« Kintsugi, l’art de la résilience » de Céline Santini   

ma note 8/10

 

L’idée clé du livre : Affirmer son identité avec  ses multiples facettes, ses failles, ses morceaux recollés nous rend uniques dans notre façon d’être au monde

Le Kintsugi est un art ancestral japonais qui consiste  à réparer un objet en le magnifiant, par un processus long et minutieux. Ainsi l’objet retrouve une seconde vie ou ses fêlures sont mises en valeur. En art thérapie, le Kintsugi inspire une démarche de résilience ou l’on accepte ses traumatismes, ses difficultés pour repartir sous une nouvelle forme qui tire sa beauté de ses blessures également

Nos cicatrices physiques et mentales racontent qui nous sommes.

Le Kintsugi invite à apprécier l’imperfection et à sortir des modèles standardisés et lisses.

Burn-out et résilience Kintsugi et résilience

« La résilience est la capacité à réussir, à vivre,  à se développer en dépit d’adversité » Boris Cyrulnik

Les burn-out ont grimpé en flèche ces dernières années, le livre de Céline Santini présente le Kintsugi dans sa dimension d’art-thérapie qui permet de se reconstruire après un coup dur de la vie: deuil, divorce, accident mais aussi burn-out .

La notion de résilience a été récemment mise en lumière en France  par Boris Cyrulnik notamment.  Aux États-Unis c’est un terme d’usage courant, qui reflète un état d’esprit optimiste. Quoi qu’il arrive, on pense qu’il y a toujours une happy end possible.

Cet état d’esprit optimiste ouvre aussi sur le droit à l’erreur, ainsi que le droit au pardon pour certaines fautes du moment qu’on les reconnait et que l’on s’en repent.

Comme le dit Boris Cyrulnik le malheur n’est jamais pur malheur, ni même le bonheur.

De l’adversité nous pouvons  malgré tout sortir grandis, trouver quelques touches de positif  dans les moments difficiles, telles ces œuvres uniques qui arborent avec fierté l’or et les cicatrices.

 « Chaque blessure est une leçon, et chaque leçon nous rend meilleurs. » Georges RR Martin

 

La lenteur et le processus de transmutation sont les maitres-mots du Kintsugi

Ce que je trouve formidable dans l’art du Kintsugi, c’est cette mobilisation totale :

-physique : art manuel demandant une grande précision

-mentale : la créativité, le soin de bien suivre le processus, l’art d’attendre

-émotionnelle : juger aussi par son cœur quelle est la meilleure transformation pour que cet objet auquel on tient énormément parfois, raconte son histoire et démarre  une seconde vie.

Voilà la force de l’art thérapie basé sur le Kintsugi : mobiliser toute son énergie, tout son être  pour accepter, guérir et renaitre.

Le processus ne peut être que lent. Son but est de nous faire passer par les différentes étapes du deuil de quelqu’un ou de quelque chose: de l’acceptation de la situation jusqu’à la renaissance vers un autre soi.

Pour en savoir plus sur les étapes du Kintsugi, consulter l’article « Le Kintsugi et résilience: transformer nos blessures émotionnelles en forces »

Mon avis : Un excellent ouvrage qui explique en détail le processus de Kintsugi et une relecture en art thérapie.

Céline Santini nous fait voyager à travers différents exercices et méthodes de développement personnel.  Ainsi nous pouvons sentir et définir quel est notre propre  chemin de résilience. Un livre riche d’exemples personnels et à travers lequel on se sent accompagné.

 

Davantage d’info sur le Kintsugi:

Le site de Céline Santini:  esprit-kintsugi.com

Video Kinsugi video des étapes du Kintsugi: Interview de Myriam Greff, artiste, maitre dans l’art du Kintsugi

 

Video TEDx : Kintsugi, the art of broken

 

29 juillet 2020 0 Commentaire
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livre la clé de votre énergiedéveloppement personnel résilience blessures émotionnelles
bien-être au travailBlog

« La clé de votre énergie » de N.Calestrémé, et dans le cadre professionnel ça donne quoi?

by Gaëlle B 27 juillet 2020

[Mon book challenge] de l’été:

lecture challenge developpement personnelLire 10 livres de développement  personnel et partager ma vision de ce qu’ils peuvent nous apporter dans le cadre du travail.
Aujourd’hui:

« La clé de votre énergie » de N.Calestrémé           

                  ma note 9/10

 

L’idée clé du livre : Sortir de nos blocages, blessures émotionnelles et cycles néfastes

Lorsque j’ai vu le titre, j’ai tout de suite pensé qu’il s’agissait d’un livre qui allait parler de mon énergie au quotidien, comment se booster grâce à l’alimentation une hygiène de vie , de la méditation, etc.

Pas du tout, ou du moins pas si facilement. Je n’imaginais pas aller aussi loin, aussi profondément dans l’introspection et dans les recherches. Ce livre nous amène à poser un œil neuf sur ses propres blocages, ceux de sa famille, et les évènements qui nous ont marqués.

L’auteur part du postulat que  les épreuves, maladies et adversité sur notre route sont là pour nous faire grandir, ou du moins que l’on peut s’en servir pour identifier des axes que nous devons travailler.

Elle aborde les 5 blessures affectives :

  • Abandon
  • Rejet
  • Humiliation
  • Trahison
  • Injustice

Si nous ne travaillons pas sur nos blessures, elles s’exprimeront à chaque fois qu’elles en auront l’occasion, nous poussant régulièrement vers les même travers, comportements et  points de vue.

Ce que j’en retiens pour la vie professionnelle :

Nos blessures émotionnelles nourrissent nos croyances limitantes

Ces blessures émotionnelles sont ancrées en nous  et nous impactent autant dans notre vie perso que dans notre vie professionnelle, car nous y sommes parfois davantage exposés (nombre et fréquence de contacts, notion de rôle, d’image, de statut)

Elles sont à la source des croyances limitantes,  par exemple :

« je ne peux pas prétendre à ce poste car je suis une femme »,

« je ne peux pas mériter quoique ce soit si je ne me donne pas à 200% quitte à empiéter sur le perso »,

« j’ai un besoin vital que mon boss soit fier de moi »,

« je ne prends pas la parole car je ne maitrise pas le sujet à 100% »

 

Le travail est l’endroit idéal pour travailler sur les blessures émotionnelles :

Je pense que la sphère professionnelle comporte toutes les conditions nécessaires pour travailler efficacement sur ces blessures émotionnelles et les comportements qui en découlent.

  1. Il est souvent plus facile de faire preuve de distanciation, de prise de recul dans le travail. L’enjeu émotionnel est moins grand, et on voit les autres à l’œuvre avec un œil extérieur. On peut repérer les blessures émotionnelles des autres et les comportements qui en découlent.

 

  1. Les entreprises sont de plus en plus ouvertes à la pratique du feedback, au retour des autres, au développement personnel, aux softskills. Le codeveloppement, le mentoring sont des dispositifs de montée en compétences qui nous amènent à observer de plus près nos blocages et nos comportements limitants.

 

  1. Enfin notre quotidien au travail est un formidable terrain de jeu,  d’apprentissage et d’expérimentation des relations humaines. Ce terrain comporte ce qu’il faut de cas problématiques, complexes, adverses,  de soutien, de témoins.

 

  1. Ce qui nous fait le plus réagir est la piste à privilégier. Par exemple, les comportements qui nous exaspèrent le plus sont les plus intéressants pour notre évolution :

Prenons le cas où mon collaborateur n’avance pas sur les quelques tâches que je lui confie en direct, par ailleurs il travaille très bien sur les missions qu’il reçoit dans son flux classique d’activité.  Cela me met hors de moi ! En lisant cela, nous avons déjà en tête des pistes d’explications et de solutions pour remédier à ce problème. Très bien.

Mais voyons aussi pourquoi cela me fait autant réagir ?sensation  de trahison ? Sensation de rejet de mon autorité ? Manque de confiance en moi ? ai-je déjà eu ce type de réaction ?

Si cela me fait réagir à ce point c’est que cela vient toucher un point sensible. S’il y a derriere cela une blessure affective existante, il faut la reconnaitre et la panser avec humilité et patience parfois, car elle s’exprimera à chaque fois qu’elle en  aura l’occasion dans la vie professionnelle comme personnelle.

 

Natache Calestrémé  nous donne des protocoles et des clés pour travailler sur ces blessures afin qu’elles impactent de moins en moins nos comportements et décisions

Elle explique également que ces blessures émotionnelles peuvent se transmettre de génération en génération (psychogénélaogie). Repérer les cycles qui se répètent, les liens entre nos épreuves et ceux de notre entourage, voire de nos ancêtres, nous donnent des clés pour avancer, mettre fin à des cycles douloureux, des liens néfastes et aussi améliorer sa santé.

 

Le mot de la fin sur ce livre

Une approche holistique qui nous amène à réfléchir sur nos schémas répétitifs, les comportements dont nous aimerions nous débarrasser dans la vie pro comme perso.

L’approche des blessures émotionnelles et leur capacité à orienter nos comportements et nos décisions est très intéressante. Je la retrouve sous l’angle de la communication dans le livre « Les mots sont des fenêtres (ou des murs)» sur la communication non violente, que je suis en train de lire  pour un prochain post.

Le livre de Natacha Calestrémé  nous « remue » pas mal et permet d’avancer durablement dans la connaissance de soi, bref,  une belle lecture d’été pour prendre du recul et rentrer plein(e) d’énergie.

27 juillet 2020 0 Commentaire
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J’arrête de râler! de C. Lewicki et dans le cadre professionnel, ça donne quoi?

by Gaëlle B 26 juillet 2020

[Mon book challenge] de l’été:

lecture challenge developpement personnelLire 10 livres de développement  personnel et partager ma vision de ce qu’ils peuvent apporter dans le cadre du travail?

Aujourd’hui :

 

Le bestseller « J’arrête de râler  »     

de Christine Lewicki

note 8/10

 

 

Le sujet du livre

Christine Lewicki, nous met face à un mal bien français : râler, se plaindre, critiquer. C’est impressionnant quand on y pense, le temps et l’énergie que l’on passe à râler !

En tant qu’adultes, nous devons répondre aux demandes et exigences de nombre de personnes : nos collègues, notre patron, nos parents, nos enfants, notre conjoint, la banque, l’école,  etc. Nous manquons de temps pour prendre en compte nos propres besoins, donc nous finissons par râler.

Lorsque je râle, c’est que j’ai quelque chose à dire, qui me tient à cœur, mais je choisis la mauvaise stratégie pour l’exprimer.

L’impact est immédiat,

  • c’est contreproductif : je n’obtiens pas ce dont j’ai besoin,
  • j’agace mon entourage qui peut se sentir agressé,
  • je véhicule de l’énergie négative autour de moi
  • et je récolte éventuellement une étiquette de râleur(se)

L’auteur nous explique tout ce que nous avons à gagner à arrêter de râler et  comment passer à l’action plutôt que de se plaindre : rentrer dans l’arène, activer sa brillance, sa confiance pour prendre en main ses besoins, ses désirs  et se lancer dans l’action qui mène au succés, à l’épanouissement.

Ce que j’en retiens pour la vie professionnelle

Avant de vous livrer ce que j’en retiens, je commencerai par vous poser quelques questions :

-Pensez-vous râler autant au travail qu’à la maison ? Pourquoi ?

-Quel état d’esprit avez-vous envie de répandre autour de vous quand vous arrivez au travail ? Comment le faites-vous ?

Est-ce que râler est un réflexe machinal pour lier contact ? par exemple je me plains des bouchons à la machine à café, du temps qu’il fait en croisant une collègue, de restrictions budgétaires en réunion et de la politique à la cantine.

 

L’impact de la râlerie comme stratégie de communication

On a le droit de passer par toute la palette des états d’âme négatifs et c’est bien normal, d’être triste, déçu, agacé, etc et de l’exprimer, mais râler n’est pas la solution.

Se tourner vers l’assertivité et les stratégies de communication non violente est plus efficace.

Nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive, mais nous sommes responsables de ce que nous allons faire de nos états d’âme et de nos humeurs.

 

Le positif attire le positif

Nous attirons les personnes qui sont dans le même état d’esprit, la même énergie que nous. Aux États Unis ont dit que nous sommes la moyenne des 5 personnes qui nous entoure.

Nous avons donc tout intérêt a déployer des antennes tournées vers le positif, car nous influençons et nous sommes influencés petit à petit par notre entourage.

C’est l’histoire du verre à moitié plein. Si je suis dans un état d’esprit positif, j’aurai tendance à voir le côté positif des choses et donc à repérer des opportunités, à aller vers l’action à  attirer des personnes dans la même énergie, et donc à me donner davantage de chances de réussir.

Cela rejoint aussi le pouvoir de l’intention. Christine Lewicki nous invite à nous poser la question : »Qu’est-ce que j’ai envie qu’il m’arrive de positif aujourd’hui, ou dans ma vie ? ».

Dans une philosophie hindoue on dit « Le prana va ou l’attention se porte » autrement dit, si vous concentrez votre attention vers votre rêve, votre but, vous l’investissez de votre intention et d’énergie positive  et vous avez davantage de chances de l’atteindre que si vous vous focalisez sur l’échec.

 

Sortir de l’inaction et poser de actes

Râler nous maintien dans la passivité, voire la victimisation.

C’est facile de critiquer lorsqu’on ne fait rien. On ne s’expose pas, on reste dans sa zone de confort.

Pour passer à l’action, il faudra braver nos peurs et les limites que l’on se fixe parfois.

L’auteure donne des pistes très concrètes pour passer à l’action, ressentir nos envies, nos ambitions, ce qui nous appelle et oser s’y lancer.

Arrêter de râler c’est accepter l’imperfection, la sienne et celle des autres. Cette étape est indispensable pour passer à l’action.

 

Le défi des 21 jours

Il faut 21 jours de pratique pour intégrer définitivement une nouvelle habitude quotidienne.

Lorsque j’ai rencontré Christine Lewicki (nous participions toutes les deux à un stage de développement personnel) elle m’a donné un bracelet fluo ou était marqué « j’arrête de râler », à chaque fois que je râlais, je devais le changer de poignet. Le but était de le garder au même poignet 21 jours et le défi était gagné !

Disons qu’il m’a bien accompagné pendant tout l’été …

Aujourd’hui, ce défi est lancé dans plusieurs entreprises avec bienveillance et la volonté collective d’améliorer l’état d’esprit quotidien.

 

Une auteure inspirante

Christine Lewicki est française  installée aux Etats-Unis , ancienne DRH, c’est une business woman solaire et impressionnante qui développe, autour de cette thématique  des stages, du coaching, des groupes sur les réseaux sociaux et une série de livres, dont un spécifique « j’arrête de râler au travail ».

Sa raison d’être : « aider les gens ordinaires (comme elle) à révéler leurs talents pour se créer une vie {extra}ordinaire ! »

Petit bonus, 2 conférences inspirantes de Christine :

  • TEDx  « j’arrête de râler »
  • Son interview par David Laroche

 

C’est un livre d’empowerment (un peu) à l’américaine, qui donne des ailes pour aller vers l’audace,  la réussite et la réalisation de soi  dans le domaine professionnel et personnel.

et vous l’avez vous lu? et qu’en avez vous pensé ? qu’avez vous mis en pratique?

 

26 juillet 2020 0 Commentaire
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